Suite à une restructuration du Centre de Téléportation Ionique Français, il a été décidé de conserver la division simulation sur Sèvres au NCIS pour National Computing of Integrated Simulation dirigée par Maître Gipps et de confier la partie expérimentale au professeur Machepro et son équipe. Les succès des derniers runs de simulation validant sa théorie, le professeur Machepro a décidé de se livrer à une expérimentation à l'échelle macroscopique avec un lombric. Le lombric présente de nombreux avantages par rapport à une arraignée. Par exemple, sa capacité de mouvement est réduite et sa résistance à la phase sismoïde bien plus grande.
L'exploit s'est donc déroulé en terre Auvergnate dans le plus strict secret. Il est évident qu'une telle réussite devait, dans un premier temps, rester dans la communauté scientifique.
Pertes de spin. Ce phénomène prévu par la physique subatomique ne permet pas de garantir le transfert des informations quantiques d'un état stable à un autre. C'est pourquoi notre lombic a subit quelques avaries qui l'on rendu beaucoup moins vivant. C'est un risque qu'il fallait courrir.
Améliorations. Compte tenu des résultats de ces premiers essais à longue portée, et des conditions météos peu favorables pendant l'expérience, il est prévu d'améliorer le système de phasage et le coupleur de montée en charge. D'après les calculs cela pourrait augmenter le rapport vivant/mort d'un facteur 1/5 et donc d'envisager à terme une téléportation humaine sur 25 km.
À LIRE. Un site particulièrement intéressant qui vulgarise ces techniques à travers des échanges avec le professeur Machepro.