Le visiteur s'aventurant sur ces pages rencontrera quelques-uns de
mes états d'âmes, rêves et désillusions qui germent au fil des saisons,
fleurissent au gré du vent. D'ailleurs, je te remercie ô téméraire surfeur,
prêt à sacrifier quelques précieux instants pour découvrir les contrées
houleuses de mon imaginaire. Si je ne te promets pas la vague parfaite, je livre
ici quelques textes qui s'ennuyaient dans un tiroir. L'association SLC
"Soutien des Lettres Condamnées" m'a convaincu de leur rendre la
liberté et ainsi d'apaiser les démons de ma conscience. Je me suis donc
évertué à les insérer dans la société d'information et ce fameux monsieur Internet
s'est révélé le médiateur idéal pour tenter une reconversion. Cependant, Il
m'a gentiment conseillé un traitement à la DHEA, voire de la chirurgie
linguistique, pour certains textes datant de la pré-adolescence (qui depuis ne
me quitte plus). J'ai refusé. Je ne voulais pas trahir la pureté originelle
des mots qui sortent du cœur. Monsieur Internet s'est retourné, comme pour
méditer, puis avec une assurance complémentaire, déclara :
"Le langage des yeux habille la pauvreté des mots."
Le message était clair. J'ai ouvert mon album pour
en délivrer quelques photos
/
croquis et les conduire tout droit vers la lumière
du scanner. De ce jour est né "au gré du vent 1.0".
un peu de sons aromatisés
aux herbes...
et une plongée dans l'univers de Davido et Kumi
Pour clore cette balade au gré du vent, je laisse la parole à un célèbre physicien du XXème siècle...
« Un être humain fait partie d'un tout que nous appelons "l’Univers" ; il demeure limité dans le temps et dans l'espace. Il fait l'expérience de son être, de ses pensées et de ses sensations comme étant séparés du reste – une sorte d'illusion d’optique de sa conscience. Cette illusion est pour nous une prison, nous restreignant à nos désirs personnels et à une affection réservée à nos proches. Notre tâche est de nous libérer de cette prison en élargissant le cercle de notre compassion afin qu’il embrasse tous les êtres vivants, et la nature entière, dans sa splendeur. »
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